La voiture électrique n’es qu’un mirage écologique pour
Amnesty Internationale.
Les chaines de production sont en majorité situées les pays
asiatiques. N’oublions pas que le premier producteur de batterie au monde. Hors
la production électrique n’est pas écologique
et reste dépendantes du charbon et autres sources polluantes. Même si ce
bilan s’améliore puisque depuis 2010, la Chine est le premier producteur d’électricité
éolienne.
Mais, le souci n’est pas que sur les sources énergétique,
les gisements marins sont la cause de prolifération d’éléments néfastes et
pouvant aggraver la disparition d’une multitude d’espèce marines.
Au-delà des problèmes écologiques Amnesty Internationale
dénonce le nom respect des droits de l’homme dans
L'ONG a déclaré avoir connaissance de graves violations des
droits de l'Homme en République démocratique du Congo liés à l'extraction du
cobalt : ces violations sont tant le travail des enfants que l’exposition
a des matières toxiques. Ce qui se passe en Argentine n’est vraiment plus
brillant.
Ce constat est remet en cause très nettement l’orientation
des politiques vers le tout « Electrique », on se demande si la
volonté de sortir des énergies fossiles ne fait pas reproduire les mêmes
erreurs que lorsqu’on prônait le Diesel.
L’ONG reconnait que des entreprises font des efforts pour
remédier ou limiter ces faits, sont cités notamment Apple, BMW, Daimler et
Renault qui font œuvre de transparence dans les données de leur chaine d’approvisionnement.
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